AUBRY. Né à Narcy, capitaine au 94e de ligne, il meurt en 1814 à l’hôpital de Wessenfeld (Prusse).
AUBRY Jean-Louis-Marie. Fils d’aubergiste, né à Châlons-en-Champagne le 18 septembre 1778. Dragon au 13e régiment (1798), il est foulé aux pieds de chevaux à Friedland et laissé pour mort. Maréchal des logis (1809), sous-lieutenant (18 mars 1813), il est fait chevalier de la Légion d’honneur le 14 juillet. Lieutenant le 17 août 1813, toujours au 13e dragons. A servi notamment de 1809 à 1813 en Espagne, en 1814 en France. En demi-solde sous la Restauration, rallié aux Cent-Jours. Réside à Langres en 1816. Mort le 22 mars 1841. Source principale : base Léonore.
BESANCON Simon-Clément (Choiseul 27 octobre 1764). Soldat au 2e régiment de Pondichéry (1782), engagé au 2e bataillon de la Haute-Marne (1792), sous-lieutenant puis lieutenant (1794), il sert aux 16e et 26e demi-brigades. Toujours en service en 1803. Source : Jacquot.
BRACHOT Jean-François. Adjudant-lieutenant au 3e d’artillerie à cheval, domicilié à Troisfontaines-la-Ville, est lieutenant de 1ère classe dans la compagnie d’artillerie de la garde nationale de la Haute-Marne aux Cent-Jours.
CHAMEROY Pierre (Bussières-lès-Belmont 4 août 1775). Volontaire au 2e bataillon de la Haute-Marne (1792), passé à la 16e puis à la 26e demi-brigades, sergent (1800), il est promu sous-lieutenant au 26e le 5 octobre 1803. Selon PG Jacquot, il pourrait s’agir du maire de Rouvres-sur-Aube, officier de corps-franc de la Haute-Marne aux Cent-Jours et frère du major Chameroy.
COURTEVAL Jean-Nicolas (Bar-le-Duc 26 septembre 1785 – Chalvraines 4 février 1860). Il sert du 4 novembre 1806 à 1815 au 67e de ligne. Chevalier de la Légion d’honneur le 1er novembre 1814. Sous-lieutenant, vit à Chalvraines, en 1822. Terminera sa carrière capitaine retraité du 37e de ligne. Médaillé de Sainte-Hélène.
DHIEVRE Jean-Louis-Marie (Montier-en-Der 17 septembre 1763). Soldat au régiment de Boulonnais infanterie (1782), lieutenant au 2e bataillon de la Haute-Marne (1792), passé à la 16e, aide de camp du général Vincent (1795). Passé au III/26e, capitaine (1799), il est réformé avec pension le 13 décembre 1804 puis sollicite sa remise en activité en février 1806. Source : Jacquot. Martinien signale qu’un capitaine D’Hièvre, du 26e, a trouvé la mort au Portugal.
GEORGE Remy. Membre de la Légion d’honneur, capitaine de grenadiers, il commande la 8e demi-cohorte des gardes nationales de la Haute-Marne, en 1813.
AUBRY Jean-Louis-Marie. Fils d’aubergiste, né à Châlons-en-Champagne le 18 septembre 1778. Dragon au 13e régiment (1798), il est foulé aux pieds de chevaux à Friedland et laissé pour mort. Maréchal des logis (1809), sous-lieutenant (18 mars 1813), il est fait chevalier de la Légion d’honneur le 14 juillet. Lieutenant le 17 août 1813, toujours au 13e dragons. A servi notamment de 1809 à 1813 en Espagne, en 1814 en France. En demi-solde sous la Restauration, rallié aux Cent-Jours. Réside à Langres en 1816. Mort le 22 mars 1841. Source principale : base Léonore.
BESANCON Simon-Clément (Choiseul 27 octobre 1764). Soldat au 2e régiment de Pondichéry (1782), engagé au 2e bataillon de la Haute-Marne (1792), sous-lieutenant puis lieutenant (1794), il sert aux 16e et 26e demi-brigades. Toujours en service en 1803. Source : Jacquot.
BRACHOT Jean-François. Adjudant-lieutenant au 3e d’artillerie à cheval, domicilié à Troisfontaines-la-Ville, est lieutenant de 1ère classe dans la compagnie d’artillerie de la garde nationale de la Haute-Marne aux Cent-Jours.
CHAMEROY Pierre (Bussières-lès-Belmont 4 août 1775). Volontaire au 2e bataillon de la Haute-Marne (1792), passé à la 16e puis à la 26e demi-brigades, sergent (1800), il est promu sous-lieutenant au 26e le 5 octobre 1803. Selon PG Jacquot, il pourrait s’agir du maire de Rouvres-sur-Aube, officier de corps-franc de la Haute-Marne aux Cent-Jours et frère du major Chameroy.
COURTEVAL Jean-Nicolas (Bar-le-Duc 26 septembre 1785 – Chalvraines 4 février 1860). Il sert du 4 novembre 1806 à 1815 au 67e de ligne. Chevalier de la Légion d’honneur le 1er novembre 1814. Sous-lieutenant, vit à Chalvraines, en 1822. Terminera sa carrière capitaine retraité du 37e de ligne. Médaillé de Sainte-Hélène.
DHIEVRE Jean-Louis-Marie (Montier-en-Der 17 septembre 1763). Soldat au régiment de Boulonnais infanterie (1782), lieutenant au 2e bataillon de la Haute-Marne (1792), passé à la 16e, aide de camp du général Vincent (1795). Passé au III/26e, capitaine (1799), il est réformé avec pension le 13 décembre 1804 puis sollicite sa remise en activité en février 1806. Source : Jacquot. Martinien signale qu’un capitaine D’Hièvre, du 26e, a trouvé la mort au Portugal.
GEORGE Remy. Membre de la Légion d’honneur, capitaine de grenadiers, il commande la 8e demi-cohorte des gardes nationales de la Haute-Marne, en 1813.
GESTAS (de) Louis, fils du seigneur de Donjeux (exécuté sous la Révolution), vélite, sous-lieutenant au 15e de ligne, blessé à Friedland, mort le 6 juillet 1807.
HENRYOT Claude-Théodore. Nogentais, élève à Polytechnique, il est lieutenant de 2e classe dans la compagnie d’artillerie de la garde nationale de la Haute-Marne aux Cent-Jours.
NETTANCOURT-VAUBECOURT (de) Etienne-Gabriel-Aimé, né au château de Doncourt-sur-Meuse le 17 avril 1787. Elève à Fontainebleau (1805), sous-lieutenant au 28e léger (1806), lieutenant (1809), capitaine (1811), il fait les campagnes de 1806 à 1808 en Prusse et Pologne, de 1809 à 1812 en Espagne, de 1813 en Saxe. Pris à Dresde, il sera à son retour garde du corps dans la Maison royale, et suivra Louis XVIII en exil. Chef d’escadron du 1er régiment de cuirassiers de la garde royale, chevalier de Saint-Louis, il termine sa carrière comme lieutenant-colonel. Sources : « Histoire généalogique et héraldique des pairs de France » (1822). Selon le baron de l’Horme, il est promu chef d’escadron le 1er mars 1815, démissionne de l’armée en 1830, meurt à Nancy le 20 avril 1846. Note : un capitaine de Nettancourt est blessé en Espagne le 4 août 1812 (source : Martinien).
PERNOT (Painnerot, dit) Jean-Baptiste. Né le 1er mars 1784 à Longchamp-lès-Millières, fils de Nicolas, manouvrier. Capitaine du 44e de ligne en demi-solde, il meurt le 28 septembre 1818 à Issoudun, apparemment à la suite d’un duel qui a inspiré les pages d’un roman de Balzac (« Rabouilleuse »), contre le capitaine Fix, officier de gendarmerie.
PYOT Jean-Jacques-Richard, né à Isômes en 1792. Fils de Franc-Comtois, il sert comme chirurgien sous-aide en Russie en 1812. Docteur, il exercera dans le Jura. Auteur d’ouvrages d’histoire locale, il meurt à Clairvaux (Jura) en 1841. Source : biographie de Michaud.
REINE Joseph. Né à Graffigny-Chemin, lieutenant au 120e de ligne, il est blessé au cours des campagnes impériales.
SORBE Pierre. Capitaine en demi-solde du 95e de ligne, à Langres, en 1816.
TAINTURIER Pierre. Chirurgien sous-aide-major au grand état-major de la Garde, il est chirurgien aide-major du 3e bataillon de la garde nationale de la Haute-Marne aux Cent-Jours.
HENRYOT Claude-Théodore. Nogentais, élève à Polytechnique, il est lieutenant de 2e classe dans la compagnie d’artillerie de la garde nationale de la Haute-Marne aux Cent-Jours.
NETTANCOURT-VAUBECOURT (de) Etienne-Gabriel-Aimé, né au château de Doncourt-sur-Meuse le 17 avril 1787. Elève à Fontainebleau (1805), sous-lieutenant au 28e léger (1806), lieutenant (1809), capitaine (1811), il fait les campagnes de 1806 à 1808 en Prusse et Pologne, de 1809 à 1812 en Espagne, de 1813 en Saxe. Pris à Dresde, il sera à son retour garde du corps dans la Maison royale, et suivra Louis XVIII en exil. Chef d’escadron du 1er régiment de cuirassiers de la garde royale, chevalier de Saint-Louis, il termine sa carrière comme lieutenant-colonel. Sources : « Histoire généalogique et héraldique des pairs de France » (1822). Selon le baron de l’Horme, il est promu chef d’escadron le 1er mars 1815, démissionne de l’armée en 1830, meurt à Nancy le 20 avril 1846. Note : un capitaine de Nettancourt est blessé en Espagne le 4 août 1812 (source : Martinien).
PERNOT (Painnerot, dit) Jean-Baptiste. Né le 1er mars 1784 à Longchamp-lès-Millières, fils de Nicolas, manouvrier. Capitaine du 44e de ligne en demi-solde, il meurt le 28 septembre 1818 à Issoudun, apparemment à la suite d’un duel qui a inspiré les pages d’un roman de Balzac (« Rabouilleuse »), contre le capitaine Fix, officier de gendarmerie.
PYOT Jean-Jacques-Richard, né à Isômes en 1792. Fils de Franc-Comtois, il sert comme chirurgien sous-aide en Russie en 1812. Docteur, il exercera dans le Jura. Auteur d’ouvrages d’histoire locale, il meurt à Clairvaux (Jura) en 1841. Source : biographie de Michaud.
REINE Joseph. Né à Graffigny-Chemin, lieutenant au 120e de ligne, il est blessé au cours des campagnes impériales.
SORBE Pierre. Capitaine en demi-solde du 95e de ligne, à Langres, en 1816.
TAINTURIER Pierre. Chirurgien sous-aide-major au grand état-major de la Garde, il est chirurgien aide-major du 3e bataillon de la garde nationale de la Haute-Marne aux Cent-Jours.
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