Voilà donc les 34e et 40e de ligne, brigade Dumoustier, 1ère division du 5e corps, faisant leur entrée en Espagne où Napoléon est lui-même intervenu à la suite de la capitulation de Baylen. Le 19 décembre 1808, le régiment arrive devant Saragosse qui, assiégée, assaillie, capitule le 21 février 1809 après de terribles combats. Le 34e souffre moins que d’autres unités, mais durant ces opérations, le chef de bataillon Hersant, les capitaines Chaud et Devosges sont blessés.
Opérant toujours en Aragon, le régiment, agissant sous les ordres de l’adjudant-commandant Fabre, chef d’état-major de la division Suchet, contribue le 22 mars 1809 à la prise de la ville de Jaca et de sa citadelle. Puis, le 8 août, au sein de la 1ère brigade, il participe à la traversée réussie du Tage vers Arzobispo, victoire des maréchaux Mortier, commandant le 5e corps, et Soult.
A ce moment, le 34e est ainsi articulé : le colonel Charles-François Rémond le commande (de 1806 à 1811), le I/34e est aux ordres du chef de bataillon languedocien Jean-Michel Cazeneuve, le II/34e du chef de bataillon Cadillon (il était capitaine depuis 1793). Le III/34e a pour chef le commandant Casimir Jouan, un Normand de 42 ans qui est en fait passé au 96e de ligne en février 1809. Tous trois servent dans la péninsule. Le IV/34e, à Givet, est aux ordres du chef de bataillon Vandermaesen, et le V/34e, du commandant Vecten, à Hanau, en Allemagne (au sein de la 5e demi-brigade de réserve).
Lieutenant depuis le 10 septembre 1806, Gardel est de cette campagne d’Espagne. Pas Jacquot, qui lui appartient au détachement de recrutement. Petit retour en arrière.
Le 8 novembre 1808, premier des deux cousins, Joseph Jacquot se marie. Non pas en Haute-Marne, mais dans le Pas-de-Calais : à Arras. Et pas avec n’importe qui : Elisabeth-Louise-Philippine Lemaistre de la Sablonnière (ou Delasablonnière) appartient à une fameuse famille d’imprimeurs arrageois. D’ailleurs, à l’occasion de cette union, un « Discours présenté à mademoiselle Philippine LeMaistre Delasablonnière et à M. Jacquot, lieutenant au 34e régiment d’infanterie de ligne» est imprimé.
Rappelons les liens existant entre le 34e et le Pas-de-Calais : le 3e bataillon de volontaires d’Arras a été intégré dans la 34e demi-brigade lors du deuxième amalgame, ce chef-lieu accueille le détachement de recrutement du régiment, et celui-ci a été cantonné à Saint-Omer avant de prendre part à la Campagne de 1805… C’est par ce deuxième biais que l’officier haut-marnais a fait connaissance de sa future épouse.
Le 15 août 1809, alors que la Grande-Armée vient de triompher des Autrichiens à Wagram, les Anglais débarquent dans l’île de Walcheren, aux Pays-Bas. Pour y faire face, l’Empire français doit diriger sur les côtes de la mer du Nord des unités des gardes nationales (notamment le 1er bataillon de la Haute-Marne du major Azémar), ainsi que des unités dites provisoires, réunissant des détachements de différents régiments.
C’est le cas du 34e. Son détachement intègre le 1er régiment provisoire de l’armée du Nord, dit encore 1er provisoire du Nord, confié au major Benoît Sibuet. En septembre 1809, Napoléon ordonne que ce régiment soit versé dans la 19e demi-brigade provisoire, toujours commandée par Sibuet, et qui est finalement dissoute en mars 1810.
Si ses états de services ne le précisent pas, il est possible que le lieutenant Jacquot ait fait partie de cette unité.
En revanche, ce qu’ils indiquent, c’est que l’enfant de Sommancourt est promu capitaine le 9 mars 1811, et chargé du recrutement des conscrits du Pas-de-Calais. L’année suivante, il est en Espagne, mais ne pourra combattre aux côtés de son cousin…
Nous avons laissé le 34e après le passage du Tage. Il sera, dès lors, de toutes les opérations de l’ancienne division Suchet, désormais confiée au général Jean-Baptiste Girard. Lequel est blessé le 19 novembre 1809 lors de la victoire d’Ocana, où deux officiers du régiment sont tués (le lieutenant Dransart et le sous-lieutenant Pasquier) et trois blessés. Le commandant Cadillon, chef du II/34e, et le capitaine Pinel sont cités pour leur conduite.
Le 11 août 1810, Girard, secondé par ses brigadiers Chauvel et Brayer, se porte contre le corps du général La Romana qui marche sur Bienvenida. C’est le combat de Villagarcia, marqué par une charge à la baïonnette des hommes de Girard. Les Espagnols perdent 2 500 tués et blessés, 800 prisonniers, quatre pièces de canon. Parmi les officiers du 34e qui se distinguent lors de cette victoire, sont cités, dans les rapports français, le colonel Rémond, qui est blessé, et le capitaine Gritte, qui commande le I/34e (le commandant Cazeneuve a cessé de servir cette même année). Deux officiers du 34e sont tués (le capitaine adjudant-major Delahaye et le sous-lieutenant Levêque), deux blessés (Rémond et le sous-lieutenant Etienne Fraiche).
Puis, tandis que le maréchal Victor, qui commande le Ier corps, assiège Cadix, le maréchal Soult, major-général des troupes d’Espagne, marche sur l’Estrémadure. Le général Girard vient assiéger Olivenza, qui capitule le 22 janvier 1811. Durant ces opérations, le commandant Cadillon est grièvement blessé – il succombera le 17 février.
Le 26 janvier, Badajoz, à la frontière portugaise, est investie. Les assiégés multiplient les sorties. Le 7 février, notamment : elle est repoussée. Ce jour-là, au régiment (alors situé dans la 1ère brigade Philippon), se distinguent les capitaines Gritte, Pinel (il tombera en Espagne quelques mois plus tard) et Hurtaut. Selon le rapport du maréchal Mortier, qui commande toujours le 5e corps, le 34e déplore lors de ce combat un officier tué et six blessés (Martinien cite, de son côté, le capitaine Lemu et le sous-lieutenant Rapin tués, les capitaines Robert, Gritte, Heurtaud – sic – et Roux, le lieutenant Larroque blessés), quinze sous-officiers et hommes de troupe tués et 109 blessés.
Le 19 février, Soult fait attaquer les troupes ennemies en arrière de Gébora, de l’autre côté de la rivière qui borde Badajoz. Le cours d’eau est franchi, les 34e et 88e, sous Philippon, participent à la déroute espagnole. Le lieutenant Lanchon (ou Lachon – il sera blessé à Albuhera), porte-aigle du régiment, s’illustre en plantant l’aigle du 34e dans le camp ennemi. Ce succès hâte la capitulation de Badajoz : le 11 mars 1811, le général Ymas rend la place, dont Philippon hérite du gouvernement.
A son tour, la forteresse est assiégée par les Espagnols. Des éléments du 34e participent à sa défense. Volant à son secours, le maréchal Soult affronte les troupes alliées à Albuhera, le 16 mai 1811. La division Girard, qui dispose de deux bataillons du 34e, souffre particulièrement. Le régiment déplore sept officiers tués (les capitaines Boireau, Comberieu, Bouffatrille, le lieutenant Pinson, les sous-lieutenants Amyot, Cholet et Renard), huit blessés, dont un Haut-Marnais, le capitaine Nicolas Gillet, de Poissons, qui sera bientôt promu chef de bataillon au 88e de ligne.
Quatre jours plus tard, Charles Gardel, qui a été promu capitaine le 30 janvier 1811 pour prendre le commandement d'une compagnie du 3e bataillon, est fait membre de la Légion d’honneur. On peut penser que cette distinction est motivée par sa conduite à Albuhera.
A noter que parallèlement, un bataillon du 34e a été affecté à l’armée du Portugal – sans aucun doute le 4e, localisé dans la 1ère brigade Ménard de la 1ère division Clauzel (8e corps). Il prend à la baïonnette, le 27 août 1811, la hauteur de Riego de Ambrosio, sous les ordres du général Bonnet.
Fin septembre 1811, le général Girard, qui commande toujours la 1ère division du 5e corps, effectue une expédition sur Caceres. Les 34e et 40e sont désormais sous les ordres du général polonais Dembowski. Au retour, le 28, les troupes françaises sont surprises par les Anglo-Espagnols du général Hill, à Arroyomolinos. Sous la pluie, le II/34e, que commande désormais le capitaine Barthélémy Mouillaud (issu du 64e), tente de faire face. Assaillis, les fantassins forment les carrés. Superbement, Dembowski repousse les offres de reddition. Mais la lutte est trop inégale. Peu de Français échappent à la mort ou à la capture.
Les premiers rapports minimisent d’abord l’importance des pertes de la division Girard – blessé dans l’affaire. Mais celui des Espagnols fait état de 400 Français tués, 1 400 prisonniers. Thiers évalue le bilan à près de 2 000 tués, blessés et prisonniers. Le 34e, dont le tambour a été capturé – coïncidence – par son « jumeau » anglais, le 34e régiment of foot, déplore deux officiers blessés, les capitaines Heurtaud (s’agit-il d’Hurtaud ?) et Secretin. Une conséquence : en raison des pertes éprouvées, le 34e sera réduit à deux bataillons.
Parmi les captifs : le capitaine Gardel, qui se voit dérober, dans son porte-manteau, son brevet de légionnaire. Pour l’officier de 39 ans, direction les prisons britanniques. Il n'est pas le seul Haut-Marnais capturé dans cette affaire. Citons François Candeur, de Crenay, Simon Binet, de Courcelles-en-Montagne, Jacques Lirot, d'Argentolles, Jean-Baptiste Mielle, d'Aujeurres, Jean-Baptiste Blanchard, de Voisey, Nicolas Hurlier, d'Orquevaux, Jean-Baptiste Huguenin, de Torcenay, le fourrier Pierre Méot, de Wassy, Claude Decharmes, de Joinville, Pierre Mercier, de Montot-sur-Rognon, Georges-François Gaucher, de Doulaincourt, le sergent Jean Léglise, de Sommevoire, Jacques-Martin Piot, de Marbéville, Jean Uselle, de Fayl-Billot, Simon Chaupied, de Fresnes-sur-Apance, Claude Carney, de Voisey... Incorporés à l'automne 1805, tous appartenaient au 4e bataillon.
Le maréchal Soult fustigera la responsabilité du général Girard dans ce désastre, en lui retirant le commandement de sa chère division. Il trouvera une mort héroïque le 16 juin 1815 à Ligny.
… et Jacquot capturé à Saint-Sébastien
Gardel pris, son cousin Jacquot, que nous avons laissé à Arras, découvre à son tour l’éprouvant théâtre d’opérations de la péninsule ibérique.
Entre-temps, le 34e de ligne, qui a perdu au combat le major Berthet, a changé d’affectation. Commandé brièvement (du 23 octobre 1811 jusqu’à sa retraite le 6 avril 1812) par le colonel Joseph-Marie Doré de la Ricochais, un Breton de 43 ans, il a quitté l’armée du Midi du maréchal Soult pour celle du Nord, au sein de la 2e division du général Vandermaesen, et il est désormais aux ordres du colonel Fondousse.
En septembre 1812, deux bataillons (dont le 2e) du 34e, soit 986 hommes, participent à la défense du château de Burgos, en Castille, sous les ordres du général Dubreton. Le II/34e est alors aux ordres du chef de bataillon Thomas.
Le 19, il repousse les assauts ennemis. Dans la nuit du 22 au 23, ce même bataillon s’illustre dans la défense de l’ouvrage dit à corne de Saint-Michel, perdant 142 tués et blessés, dont cinq officiers. Parmi eux, Thomas, touché d’un coup de feu au corps. Finalement, les Anglo-Portugais lèveront le siège le 22 octobre.
Dans cette défense admirable, le régiment perd au total six officiers tués (et quatre blessés) : les capitaines Villermet et Jean-Baptiste Artreux, 38 ans, le lieutenant Bourumeau, les sous-lieutenants d’Herson, Gimbrède et Saint-Martin.
Après la défaite de Vitoria (21 juin 1813), l’armée française retraite vers les Pyrénées. Une garnison est laissée dans la place de Saint-Sébastien, sous les ordres du général de brigade Emmanuel Rey. Le II/34e, héros de Burgos, y est dirigé le 27 juin par le général Foy. Effectifs : 434 hommes, toujours sous les ordres de Thomas. Le capitaine Jacquot est du nombre – à noter que les III et IV/34e servent alors en Saxe (Hersant, toujours chef de bataillon, sera blessé à Wurschen, Pierre Hurtaud, Vendéen de 45 ans, parvenu au même grade, sera tué à Arcis-sur-Aube en 1814…).
La défense de Saint-Sébastien est un des plus grands faits d’armes des troupes impériales. La garnison, composée de quatre bataillons des 1er, 22e, 34e et 62e de ligne, du 1er bataillon de chasseurs des montagnes, assiégée par le général Thomas Graham, est héroïque. Bombardée, elle repousse tous les assauts. Celui du 31 août est tragique : un dépôt de munitions françaises explose. La garnison doit se replier sur le fort, dont le commandant d’armes, un Chaumontais de 43 ans, le capitaine Claude-Joseph Pavy, est blessé, tout comme deux officiers haut-marnais du 34e : le lieutenant Etienne Bernard, de Chalancey… et le capitaine Jacquot, par un coup de feu au ventre et à la cuisse.
Dans la ville, c’est le chaos : détruite par les bombardements, pillée par les Anglais. Dans le fort, la garnison ne peut tenir longtemps. Le général Rey doit se rendre. La capitulation est signée le 8 septembre. A ce jour, le 34e a perdu trois officiers et 80 hommes – sans doute tués.
Les officiers tués et blessés (selon Martinien) :
. le lieutenant Bernier,
. le sous-lieutenant Lepetit, tués
. le capitaine Jean-Baptiste Aignelot (né en 1777 à Paris, capitaine au 34e depuis le 29 avril 1812)
. le capitaine Jacquot
. le capitaine Koenerding-Cok
. le capitaine Thermelaud
. le capitaine Jean Simon dit Dumaine (né en 1785 en Dordogne)
. le capitaine Larroque
. le lieutenant Bernard
. le lieutenant Delrue
. le lieutenant Guellon
. le sous-lieutenant Neron
. le sous-lieutenant Ponthieu
. le sous-lieutenant Rouget, blessés.
Les défenseurs sortent avec les honneurs de la guerre. A son tour, Joseph Jacquot, comme son cousin germain, va connaître la condition de prisonnier en Angleterre – où des officiers seront promus au grade supérieur (ainsi Aignelot, chef de bataillon le 25 novembre 1813).
De nouveau réunis durant les Cent-Jours
Le II/34e du commandant Thomas capturé, les III et IV/34e engagés en Allemagne, subsiste un seul élément du régiment dans la péninsule : le I/34e.
Il est dans la brigade Barbot de la division Vandermaesen (puis Maransin) de l’armée des Pyrénées. Le 31 juillet 1813, il se bat devant Pampelune. Le 1er septembre, sur la Bidassoa. Le 7 octobre, il est engagé sur le plateau de la Rhune (le 10, douze jours avant d’être promu sous-lieutenant, le sergent-major haut-marnais Fèvre est blessé devant Bayonne). Le 10 novembre, son colonel, François Fondousse, un Varois de 38 ans, est mortellement blessé au combat de Sarre. En 1814, s’il n’est pas engagé à Orthez, il prend part, le 10 avril, à la bataille de Toulouse, soit quelques jours après la capitulation de Napoléon (le lieutenant Fèvre, du I/34e, y est blessé selon Martinien, mais ses états de services ne le confirment pas).
Louis XVIII est sur le trône. Les prisonniers rentrent en France : Jacquot, le 23 mai, Gardel, le 24 juin (Aignelot le 29 mai).
En août 1814, le 34e de ligne, dont le conseil d’administration est alors composé du colonel Joseph-Antoine Faure-Labarbere (chef de corps depuis le 22 décembre 1813, après la mort de Fondousse – c’est un Pyrénéen de 59 ans, et il sera blessé à Strasbourg), des chefs de bataillon Vecten, Pierre-Antoine Margaine (né à Chalon-sur-Saône en 1770, il a été fait prisonnier au Portugal en 1810) et Bouis, devient 33e de l’arme. Le 17 mars 1815, le capitaine Jacquot, qui paraît appartenir au 33e, fait enfin son entrée dans l’ordre de la Légion d’honneur.
Le régiment retrouve son rang au retour de l’Empereur, rejoint la brigade Gengoult, division Habert, 3e corps (Vandamme), armée du Nord.
Le 16 juin 1815, le 34e, commandé par le colonel Mouton, lutte dans le village de Saint-Amand. Trois officiers sont tués : le capitaine Felix, le lieutenant Peigné et le sous-lieutenant Portron. Deux chefs de bataillon, Charles-Joseph Bouis (né en 1775 à la Guadeloupe) et Antoine-Nicolas Auxcousteaux (né en 1774 à Paris), sont blessés.
Leurs états de services respectifs ne le confirment pas, mais selon Martinien, les capitaines Gardel et Jacquot sont blessés lors de cette dernière victoire de Napoléon, au cours de laquelle le général Girard, leur ancien divisionnaire, est mortellement atteint.
Puis le 34e suit le destin des corps confiés au maréchal Grouchy, et ne se bat pas à Waterloo (mais à Wavre, le 20, où le colonel Mouton est blessé, le capitaine Raynaud et le sous-lieutenant Gardini tués).
Pour Gardel, la carrière militaire n’est pas encore tout à fait terminée : à compter du 20 juin 1815, il fait partie, dans les Ardennes, de la garnison de la place de Givet et du fort de Charlemont qui sont bloqués. Ils ne se rendront qu’à la mi-décembre ! Voilà plusieurs mois déjà que Napoléon a été exilé à Sainte-Hélène…
Charles Gardel est mis à la retraite. Il retrouve le village de Sommancourt où il est né 44 ans plus tôt. A son tour, en 1818, il prend épouse. En l’occurrence, la jeune veuve d’un capitaine du 49e de ligne (Nicolas Brocard, de Wassy). Il s’établit dans ce chef-lieu d’arrondissement où il décède le 1er mars 1840, à 68 ans. Il était père de Charles.
Joseph Jacquot quitte le service actif le 2 octobre 1816. Lui ne revient pas dans son département natal, mais s’établit à Arras. En 1823, il est qualifié de capitaine retraité, électeur de la cité arrageoise. Il sera encore membre de la commission des prisons de l’arrondissement. C’est dans le chef-lieu du Pas-de-Calais qu’il décède le 5 juin 1854, à 82 ans.
Charles Gardel et Joseph Jacquot sont, à notre connaissance, les seuls membres de la Légion d’honneur du XIXe siècle nés à Sommancourt.
Sources : état civil des communes de Sommancourt et Wassy ; « Les bataillons de volontaires nationaux de la Haute-Marne », Pierre-Gérard Jacquot (thèse de doctorat d’Etat) ; base Léonore (site Internet des Archives nationales) ; dossier de pension de retraite du capitaine Jacquot (communiqué par Gérard Tissot-Robbe) ; « Tableau des officiers tués et blessés », A. Martinien ; souvenirs du capitaine Puffeney (présentés par Christophe Bourachot) ; diverses relations des campagnes d’Espagne et du Portugal…
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